Le système de vidéoprotection

Sécurité et civisme

Le système de vidéoprotection

En 2021, la ville de Saint-Pourçain-sur-Sioule a fait le choix de s’équiper d’un système de vidéoprotection sur la voie publique. Grâce à ce système de surveillance fonctionnant 24h/24h, la ville entend lutter plus efficacement contre certaines formes de délinquance et d’insécurité afin de garantir la sûreté publique sur son territoire.

Aujourd’hui, le système de vidéoprotection de la commune est composé de 29 caméras de vidéoprotection qui enregistrent plus de 20 sites différents, à la fois dans et hors du centre-ville. Les caméras permettent régulièrement à la police municipale et la gendarmerie de résoudre des enquêtes judiciaires grâce au visionnage des enregistrements.

Les enregistrements sont conservés un mois avant d’être automatiquement effacés. Ils ne sont visionnable que dans une pièce dédiée à l’intérieur du bureau de la police municipale de Saint-Pourçain-sur-Sioule. Seul les policiers municipaux ont accès à cette pièce et ils sont les seules personnes autorisées à consulter les enregistrements du système de vidéoprotection.

Poste de surveillance de la vidéoprotection avec le maire
Visite du maire dans le bureau de visionnage des enregistrements du système de vidéoprotection, 2022.

Si vous êtes victime d’un acte délictueux, il est nécessaire de porter plainte à la gendarmerie ou la police municipale dans un délai de 15 jours pour permettre une réquisition des images du système de vidéoprotection.

La brigade de gendarmerie de Saint-Pourçain-sur-Sioule est joignable par téléphone au 04 70 45 30 50 et la police municipale de Saint-Pourçain-sur-Sioule au 04 70 45 86 97.

Un comité d’éthique, composé d’élus, de commerçants et d’habitants de Saint-Pourçain-sur-Sioule, se réunit une fois par an afin de veiller au respect de la loi et de la liberté individuelle lié à l’utilisation du système de vidéoprotection.

Cofinancement

La mise en place des 29 caméras de vidéoprotection de la ville a été cofinancée à hauteur de 80% par la Région Auvergne-Rhône-Alpes et le Fonds interministériel de la prévention de la délinquance et de la radicalisation (FIPDR) de la Préfecture de l’Allier.

Aller au contenu principal